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Produits locaux : Le premier « drive-fermier » ouvre à Bordeaux

Désormais, les « drive » ne seront pas réservés aux grandes surfaces ou aux restaurations rapides.  La chambre d’agriculture et une vingtaine de producteurs girondins expérimentent le premier « drive fermier ».

Concrètement, les amateurs de produits locaux peuvent consulter l’offre dès le mardi à midi et ont jusqu’au mercredi à minuit pour passer leur commande, la régler en ligne et fixer l’heure à laquelle ils souhaitent la récupérer. Les agriculteurs préparent alors ces commandes qu’ils apportent à un point de retrait le vendredi après-midi (la SICA Maraichère Bordelaise à Eysines).

Le drive fermier est un site e-commerce permettant de mettre en contact direct les agriculteurs girondins et les consommateurs en proposant uniquement des produits locaux. Cette nouvelle forme de « circuit court » et de proximité a pour but d’assurer l’échange de produits de qualité, à des prix intéressants pour le consommateur, et rémunérateurs pour l’agriculteur. Il permet donc de pratiquer une « préférence locale », accessible à toutes les bourses.

Le drive fermier se positionne comme une alternative aux autres initiatives de circuits courts du secteur telles que la vente sur les exploitations, les marchés de producteurs, les AMAP…

[cc] Infos Bordeaux, 2010-2023, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d´origine [www.infos-bordeaux.fr].

4 Comments

  1. Super… une boutique pour les CSP+ !

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  3. Voilà une très bonne initiative que les producteurs et éleveurs locaux auraient dû développer depuis longtemps. Reste qu’il faut contenir les prix pour rester compétitifs ce qui n’est pas gagné face à la concurrence des hypers du coin.

  4. Super,
    Les écolos bobos gauchistes célibataires ou homosexuels du quartier des Chartrons vont être contents, ils vont pouvoir se la jouer “fermier”.
    Quant à moi, père de famille nombreuse submergé de taxes et impôts, des cotes d’agneau à 23,42€ le kilo, du roti de boeuf bio à 16,94€, 6 pots de pruneaux d’Agen à 39€, ce n’est pas l’envie qui me manque, mais ce n’est pas pour moi. Je suis donc définitivement condamné à aller chez Carrouf, Al Campo ou autre chercher mon agneau de Nouvelle-Zélande, mes fruits d’Espagne et ma vache de réforme abattue en Pologne. Que le monde est injuste…

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