Toujours soucieuse du confort et de la santé de ses lecteurs, l’équipe d’Infos Bordeaux fait le point sur les dangers à éviter pour ceux qui ont la chance de passer leurs vacances sur les plages d’Aquitaine.

1- La baignade. L’année 2012 avait été particulièrement meurtrière (49 décès). On recensait déjà 12 morts par noyade en Aquitaine entre juin et juillet 2013. La plupart de ces drâmes concerne soit des enfants, soit des adultes ayant abusé d’alcool. Aussi, on ne peut que recommander de redoubler d’attention quant à ses enfants, et d’éviter les abus en tous genres : il serait vraiment dommage que le repos estival se transforme en repos éternel.

2- Physalies, méduses et vives sont très présentes dans les eaux d’Aquitaine en cette saison. Leur venin est très douloureux et, même s’il est rarement mortel, une piqûre peut largement vous gâcher les vacances. Avant de vous installer sur le sable chaud, vérifiez sur les panneaux d’affichage si la présence de ces animaux a été signalée, et attention à la marche pieds nus sur le sable : l’agréable sensation du sable chaud peut rapidement être gâchée par une méchante épine.

3- Michèle Delaunay (ou plutôt sa chienne). Originaire de Bordeaux, Michèle Delaunay est connue pour ses positions plus que discutables et pour sa participation au PG5R (pire gouvernement de la cinquième république). Mais le vrai danger sur les plages vient plutôt de Dixie, son berger allemand (dont le nom rappelle si délicatement la belle époque où les enfants de la diversité passaient leurs vacances à ramasser le coton), qui a la fâcheuse habitude de vouloir goûter ce qui passe à proximité, de préférence les policiers et les enfants. Un indice pour repérer la proximité de Michèle Delaunay est la présence de chateaux de sable. Si vous croisez le ministre ou sa chienne, il est recommandé de s’éloigner (sans courir afin de ne pas être poursuivi par une bête en furie). En cas de morsure, se plaindre aux CRS est inutile et sans effet, à moins que la morsure n’ait un caractère raciste ou antisémite, ou homophobe à la limite.

4- Manuel Valls. S’il n’a pas de chien (en tout cas pas à notre connaissance), le ministre de l’Intérieur du PG5R affectionne une autre sorte de molosses, qui n’hésitent pas à attaquer lorsqu’ils sentent que leur maître pourrait être menacé. Dans la mesure où, pour eux, la menace peut venir de n’importe où, y compris de ligueurs en poussette et de terroristes brandissant des pistolets à eau (“détention d’arme à eau de 6e catégorie en relation avec une entreprise terroriste”), il est vivement déconseillé de s’approcher du ministre. De toutes façons la meute ne vous demandera pas votre avis, a fortiori si vous montrez ostensiblement votre volonté de menacer la république en sifflant ou en brandissant un drapeau. Faut pas exagérer. “Quand même !”

Bonnes vacances à tous nos lecteurs.

(D’après photo Flickr – gallas73)