L’émission « Les Infiltrés », portant sur le milieu catholique traditionaliste à Bordeaux, et diffusée en avril 2010 sur France 2, avait à l’époque, provoqué une belle tempête médiatique, avant que le soufflé ne retombe.
Pourtant, après une large médiatisation de l’église Saint-Eloi et du groupe Dies-Irae, la presse a peu parlé des derniers rebondissements.
Selon le site “Observatoire de la Christianophobie”, trois des principaux protagonistes viennent d’être mis en examen pour atteinte à la vie privée, publication d’un montage et escroquerie pour avoir fait usage d’une fausse qualité dans le but d’obtenir des propos et des images ayant servi au montage de CAPA vendu à France 2.
Il s’agirait de Patrick de Carolis, alors président de France Télévisions, Hervé Chabalier, dirigeant de CAPA, et Matthieu Beurier (photo) alias Mathieu Maye, le “journaliste” infiltré…
Suite à cette affaire le Sud-Ouest avait lui aussi subi les foudres de la justice (ici et là).
l’église catholique a toujours caché ses comportements et niés l’évidence,cette secte est quand méme l’auteur de 400 ans d’inquisition en Europe avec des milliers de morts et de supliciés , chassez le naturel et il revient au galop
il ne faut pas dire des choses aussi grave sans apporter les éléments. A aucun moment l’église catholique ne peut être considérée comme une secte cf la définition du Larousse
C’est vrai que quand on est un peu honnête, on ne peut que constater que la religion Chrétienne est source de nombreux conflits dans le monde…
L’Eglise a moins tué en 3 siècles d’inquisition que la porcherie ripoublik-haine en 6 mois…
Oui. Et même que le tort tue !
merci pour eux de le rappelé
La révolution française a fait beaucoup plus de morts que l’inquisition en beaucoup moins de temps !
Dépêche AFP sur le sujet : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/09/97001-20130409FILWWW00303-les-infiltres-de-capa-mis-en-examen.php
Se référer à des événements du XIIème siècle pour distiller sa haine d’une religion aujourd’hui plutôt inoffensive comparé à d’autres, est une tautologie prouvant un manque cruel d’argument.